vendredi 30 novembre 2012

Le balai de la RATP



Il était une fois… Non, ça c’est nul. Ce n’est pas un conte de fées.
Donc, par un matin froid, gris, pluvieux de novembre, un matin parisien, si vous voyez ce que je veux dire, j’étais dans le métro. Même pas huit heures du matin et déjà beaucoup de monde. Connaissez-vous la devise de la R.A.T.P. ?
Plus près les uns des autres.
Et cette devise est largement appliquée.
Imaginez, la chaleur humaine, les parfums qui se mêlent aux odeurs de transpiration. Si, si, à huit heures du matin, ça le fait et ça pue. Bon, passons !
A la station Montparnasse, monte un employé de la dite société, nommée plus haut, avec son balai à la main et qui s’installe dans le carré proche de la barre centrale.
Pour l’instant, rien d’étonnant. Les gens vont travailler, c’est la ville, c’est normal.
Dans cette rame, certains lisent, d’autres sont encore plein de sommeil et chacun est dans son monde.
Trois stations plus loin, montent deux filles en grande discussion et elles aussi se mettent dans le carré et s’accrochent au balai de notre employé, comme si c’était effectivement la barre centrale.
Hormis le balayeur, point de réaction dans le lot de passagers.
A l’approche de Châtelet, l’agent de la R.A.T.P., s’apprête à descendre, et gentiment, donne des secousses à son balai.
Nos deux commères, toujours en pleine discussion, ne font pas plus attention à lui que s’il était invisible, tellement elles sont dans leur univers.
Et d’un coup, l’employé tire plus fort son manche pour descendre car les portes du métro vont bientôt s’ouvrir.
Les deux filles, yeux rond d’étonnement et bouche ouverte se retournent et se rendent compte qu’elles avaient en main le manche à balai.
L’employé leur dit :
-         « Excusez-moi, mesdames, je descends ici.
Le pauvre homme est rouge comme une tomate et enfin, sort du wagon ainsi que d’autres voyageurs.

Quand je vous dis que les gens, ou plutôt nos parisiens, absorbés dans leurs pensées, leur travail ou autre, et les sujets sont nombreux, ont à peine ébauché un sourire devant une telle situation qui à mes yeux semblait très cocasse. Et bien, pas à eux. Il leur en faut plus, ou ils ont perdu le sens de l’humour, je ne sais pas.
Mais moi, ça m’a bien fait rire et mis de bonne humeur. Quoique je l’étais déjà, de bonne humeur.
Vive la vie parisienne…

Anne Kitline

samedi 24 novembre 2012

Ecopez, fuyons ! Le RUMP !



Je me croyais sur la bonne ligne, dans la bonne direction. Je nous croyais sur la bonne route. Erreur, changement de cap, barre à bâbord toute et droit devant !
Virages, accélération, tournants, purée ça me file mal au cœur. J’ai les yeux qui tricotent.
Pas facile, la tenue de route. J’en arrive à me demander s’il a le permis, celui qui nous mène.
« C’est l’aviron, qui nous mène, mène, mène, c’est l’aviron qui nous mène en rond » Ou droit dans le mur. 
Et puis, je ne parle pas des marches arrière, même en pleine vitesse.
-         Fais gaffe, tu vas tout casser !
-         M’en fiche !
Notre cher meneur de bande (de rigolos)  veut reconquérir, devinez quoi !
Veut reconquérir l’AVENIR.
Comment va-t-il s’y prendre ? Car moi, je sais conquérir quelque chose au présent, et c’est déjà pas facile, mais Reconquérir et en plus l’avenir. Faut m’expliquer !
Oui, c’est ça, il a des trucs, des tours de passe-passe, c’est sûr ! Il voyage dans le temps. Hier, il était dans le futur.
-         « Reviens nous, je t’en supplie, je t’en supplie. Sans toi se brise la vie, brise la vie ! »
Au fait, et le présent, il en fait quoi ?
C’est que c’est difficile à gérer, le présent. Faut même s’occuper du passé pour comprendre le présent.
-         Ah non, moi, le présent, je ne veux pas en entendre parler, seul l’avenir et sa reconquête m’intéresse !
Le présent, c’est trop compliqué. Les vingt-sept de l’Europe, les discussions, les palabres. C’est qu’il faut y aller, se donner, convaincre. Déjà, vaincre, c’est compliqué. Alors, convaincre…Et comme ce ne sont pas des « cons », on ne peut pas les vaincre. Sont solides, les dirigeants de notre Europe. Ein, zwei, drei, pas commode, la dame ! One, two, three, veut pas céder et un, deux, trois s’en va la queue basse et les oreilles tombantes.

Longtemps, on nous a cité : la gauche caviar. Moi, je sais pourquoi, tralala…
Le caviar, c’est quoi ? Des œufs de lump et bouffer de l’UMP, la gauche, elle aime ça ! Et comme aujourd’hui, l’UMP s’éclate. Boum !
Ils ont fait un grand « splach », un grand boum et pas une grande boum. Faut pas confondre !
Un nouveau Président sorti vainqueur ?
Nous avons écopé ! Écopé ? Le bateau prend l’eau ? Le bateau coule ? Rien à voir avec la barre à bâbord. Ce bateau coule ou éclate, au choix.
-         Fuyons ! fuyons !
-         Écopez ! Écopez !
Faudrait connaître la marche à suivre. Mettez vous d’accord, les gars !
-          « Ainsi s’achève la romance, oui la romance ».
-         On a vraiment pas eu de chance, pas eu de chance !
Ben non, z’avez tout fichu par terre avec vos gros EGOS de politico-pas-rigolos.
Copions, fiez, Fillon, Copé, payons. Ça en fait des mots et surtout, des maux.
Et bien justement, faites nous une démo de savoir vivre.

Aujourd'hui, nouveau jour, nouveau nom. RUMP. Pas possible, ils ne connaissent pas l'anglais nos UMPistes ! 
Le croupion, fallait y penser ! Ou le fion, c'est pas mieux. Le fion de Fillon, drôle, non ?
Si tu mets RUMP sur google image, tu n'as que des photos de culs et François Fillon. ça, c'est du rapprochement !
Enfin, la politique me fait marrer, continuez les gars ! 

 

lundi 19 novembre 2012

Polémique



L’homme polémique. Qui est donc l’homme polémique ?  Quel métier, quel position, enfin, que fait il ?
Homme journaliste ?
Homme politique ?
La politique mène à tout, surtout à la polémique. Il peut y avoir des hauts, mais surtout débat. Le débat est polémique. Le débat est politique. La mêlée s’engage, va jusqu’à la querelle, la controverse. Ils se disputent ! Que j’aurais aimé qu’ils avouent, qu’ils se disent putes !
Ça, ce serait du débat ! Et ça deviendrait marrant.
Nos politiques et leurs grandes phrases ouvertes à controverses, n’en déplaise à certains, je les voudrais directs, francs.
-          Mes chers con-citoyens, chers électeurs, votre voix m’intéresse ! Quand je serai élu, je vous oublierai rapidement pour me consacrer uniquement à ma situation personnelle. Je brigue ce job, pour la pouvoir et l’argent. L’argent qui me permettra d’acheter certains de mes con-génères et les avoir à ma botte. Vous pensez que je suis corrompu, c’est indéniable, je vous l’accorde, comme j’accorderai les marchés aux plus offrants, à celui qui, me donnera le plus de fric, à moi bien sûr. Alors, votez pour moi comme je le ferai moi-même !
-           
La polémique, c’est mettre de l’huile sur le feu, et moi, j’aimerais beaucoup mettre nos huiles, ceux qui dirigent tout, sur le feu, les faire cuire, même si déjà, certains, se sont grillés dans des affaires plus que louches.
-          Vous pensez que je n’y vais pas avec le dos de la cuillère. Trop petit, la cuillère, je viens de vous parler de louche, et c’est à la louche, qu’ils font de la polémique politique et que leurs copains journalistes et aussi, leurs copines journalistes, en rajoutent. C’est juste qu’entre polémiqueurs, on s’unit, on se pacse, mais point de mariage, on con-cubine avec son con-joint et au diable les con-venances.

Et les con-citoyens, c’est nous, ceux qui vous font con-fiance, ne com-prennent plus rien, cul par dessus tête. Le bon sens près de chez vous, dit une certaine pub.
Ça n’a plus aucun sens, ni interdit, ni giratoire, reste seul, le sens unique. Tout pour ma gueule et rien pour toi ! 
Même leur pensée est unique mais jamais inique. 
D’abord, inique qui ? Devine !

vendredi 9 novembre 2012

Du fric... Du fric !

Où trouver l'argent qui manque ? Toi, quand ton porte-monnaies est à sec, que fais tu ? Tu te tournes vers ta famille, tes amis et en final à ton super généreux de banquier. 
- S'il te plaît, débloque moi des fonds ! 
Tu l'implores, tu expliques, tu peux même faire un peu de comédie. Mais tu dois avoir des arguments positifs. C'est pas la peine de jouer les pleunichards.
- J'ai six gosses à nourrir, ma femme est au chômage et mes beaux-parents ont été expulsés. ça me fait dix bouches à nourrir. Monsieur le banquier, donne moi des sous !
Là, tu l'affoles, tu lui fais peur. Il est persuadé que jamais tu lui rendras l'argent qu'il a l'impression de te prêter, en fait, il se rembourse au centuple.
S'il te prête, c'est pas qu'il a bon coeur. Non, C'est qu'il assure ses arrières, il a pris une hypothèque sur ta maison, par exemple, ou qu'il y a des gros chiffres sur tes placements bloqués. Donc, il va te débloquer une somme et plus tu as du blé, plus il est capable de te donner le fric. Mais si t'es fauché, t'auras rien. Pas la queue d'un ! Pas un rond, pas d'oseille, pas de flouse, pas un kopek, rien, rien !

Bon, ça, c'était ton cas perso. Maintenant, regarde l'état, les collectivités locales, quand les caisses (blanches, opposées aux caisses noires, toujours pleines) sont à sec, que font nos élus, ils vont piquer ce qui leur manque dans tes poches et sans te demander ton avis. Au cas ou tu dirais NON ! 
Ils vont te ponctionner, toi, le pauvre pékin qui n'a plus un radis.
Y'a pas que dans le corps médical qu'on pratique des ponctions. Nos dirigeants sont plus menteurs encore que des arracheurs de dents d'il y a cent ans.
- Ne vous inquiétez pas, ça ne fera pas mal. Ouvrez grand votre porte-monnaie que je puisse extraire facilement ce dont j'ai besoin. Te voilà plus léger maintenant, ils t'ont soulagé de ce que tu avais et là, t'as plus rien !
Pas vrai !

Ils ont déjà été capable de créer un impôt sur de l'argent que tu ne perçois pas. Oui, la CGS (provisoire). C'est combien de temps "provisoire" ?)
- Ben ma p'tite dame, ça dure, ça dure !
Faut il que notre gouvernement nous déteste à ce point, nous, la classe dite "moyenne" pour nous racketter de la sorte!
Moi, j'aimerais bien aller piquer des sous dans la poche de mon voisin.
_ Si tu fais ça, il va porter plainte et tu vas en prison !
Quoique, nourri, logé, blanchi au frais de l'état, tu récupères un peu sur les sommes qu'ils t'ont obligées à payer au fil des années.
Nous n'avons pas les mêmes valeurs !
Si toi,  tu as besoin d'un prêt personnel, ils te flingues sur le taux de remboursement. Ils, les banquiers, et tu te retrouves dans le caca !
Et pire encore, dans la m.... jusqu'au cou et tu coules, tu t'enfonces.
C'est franchement épouvantable. Tu n'arrives plus à refaire surface.

Nos ministres, de notre budget, les gestionnaires de nos collectivités locales, eux, dépensent à tors et à travers.
- Ben oui, c'est l'argent du CON-tribuable, alors.... Ils peuvent nous faire des CON-cessions !

jeudi 8 novembre 2012

Régime ! Régime !

Toute mouillée, elle pèse... allez, 45, 48 kilos et encore, je ne suis pas sûre et elle trouve qu'elle a grossi. Mais d'où ? Du coup, elle ne mange plus que des salades, des crudités. Elle va devenir -lapin- à force.
- Attention, tes oreilles vont pousser et tes incisives aussi. Fini d'être belle !
Avec tout juste son demi quintal... Quintal, ça va lui faire encore plus peur... elle se trouve grosse.
Elle va faire du sport au moins 2 fois par semaine... pour mincir. Moi, j'ai jamais entendu que le sport fait perdre du poids!
Faut-il qu'elle ne s'aime pas pour se priver de manger et s'astreindre des heures de torture sportive comme elle le fait ?
Quand je la vois, blonde, yeux bleus, teint clair, 1,60 m, (peut-être, ou moins ou plus), bien proportionnée et pas grosse du tout. Une belle fille, genre Europe de l'Est, polonaise ou russe. Bref une fille qui lorsqu'elle passe devant toi, tu la regardes. Fine, svelte et musclée, voilà comment elle est.

Comme je la plains de ne vouloir manger les bons petits plats qu'elle prépare pour ses hommes. 2 ados, qui avalent et son homme qui ne crache pas sur la nourriture. Assis à table, eux, devants la bonne quiche maison et elle, devant sa salade maison aussi. Tu vois le tableau. Ah non, elle ne fait pas grise mine, elle fait régime ! Régime jusqu'au bout. Au bout de quoi, je ne sais pas !
- Méfies toi, tu vas devenir anorexique !
Tout ça, à cause de la pub qui nous montre que des planches à pain, des grandes gigasses plates comme des limandes qui défilent avec une démarche de langouste imbibée de pastis.Triste image !
- Ces publicistes, ils m'aigrissent !
- Tu devrais faire comme eux !
- Quoi ?
- Maigrir !

Tu ouvres une revue - régime machin, régime truc, recettes allégées et tutti quanti !
Tu regardes la télé, idem ! Minceur quand je te tiens, je ne te lâche plus, ça fait vendre. Gélules, plantes, même les pharmacies s'y mettent.
- Tu as oublié  les grandes surfaces !
Eh bien, justement, tous ces régimes sont là pour que tu ne devienne pas "une grande surface" aussi haute que large, la boule, le tonneau, quoi !. Ça, c'est ce que l'on veut nous faire croire, mais c'est surtout pour enrichir les laboratoires. Pour leur équilibre financier, à EUX.
En parlant d'équilibre, la pub dit : "c'est bon l'équilibre" - "mangez équilibré", pour une fois, faut écouter la publicité, elle dit vrai. Et puis, écoute ton corps, aime toi et tout ira bien !

mercredi 7 novembre 2012

Droits et devoirs

Vous avez dit : droits ? Avons nous encore des droits ? Depuis que tout va de travers, nos droits se sont pris la tangente. Eh oui, ils sont partis pour d'autres cieux. 
Non, pour d'autres gens mais plus pour nous, pauvres citoyens de la France. 
Vous Monsieur, vous Madame qui alimentez de vos deniers les caisses que l'on dit VIDES - impôts, taxes, charges - ils vous reste des DEVOIRS. Vous avez droit aux devoirs, aux devoirs supplémentaires.
Moi, déjà toute gamine, je n'aimais pas les devoirs. Et qui les aimes ? Et plus tu vieillis, plus tu en as. C'est comme les rides, avec le temps, ça s'accumule. Mais là, c'est ton porte-monnaies qui devient comme une vieille pomme, tout raplapla et plissé. Plus tu l'ouvres, et moins il contient de pièces et billets. C'est la "dèche" ! Alors, ne l'ouvrez plus ! 
Je n'ose pas vous dire : fermez là ! C'est pourtant ce qu'on vous demande.
Oui, fermez là, ne réclamez pas, vous n'aurez rien ! D'ailleurs, il n'y a plus rien ! Je vous l'ai dit plus haut, les caisses sont vides, vides de chez vide. Plus un radis, plus un kopek ! 
Ça, c'est pour le commun des mortels, mais pour certains, qui ont déjà des avantages, avantages acquis de longue date, nous l'état, n’enlèverons rien, je vous le dis, gardez tout. 
D'abord, ils votent pour nous ces braves gens là, alors que les autres...
Wahou les chanceux, les veinards ! Je ne parle pas de toi, le dindon de la farce qui s'est fait et se fera avoir sur toutes les coutures, je te parle du "profitard" d'avantages acquis et qui pour rien au monde ne veut s'en défaire, même au profit de toi ou de moi, par exemple. 
- Allez partage... quoi !
- Ben non, moi je veux pas, je garde tout et débrouille toi, paye pour moi !

Tu as travaillé à la poste, même pas un timbre, ils t'ont donné !
Tu travailles dans l'aéronautique, est-ce qu'ils t'ont offert un avion, ou même un petit voyage ?
Tu travailles aux ponts et chaussées. Et alors, ils te payent une paire de chaussures pour tailler la route ?
Tu travailles dans un bureau d'études, est-ce que tes études deviennent gratuites ?
Tu es technicien de surface, on te gratifie d'un balai pour chez toi ? 
Tu es chercheur, te donne t-on de l'or ?

Mais voici des privilèges ! 
Haut fonctionnaire d'état. Mes privilèges, je tiens à les garder alors, ne mettez pas le nez dedans !
Journaliste. Juré, je dirai la vérité et rien que la vérité ! 
Banquier. Je tire les cordons de la bourse et ne te délivre de l'argent que si tu en as autant que moi. Viens jouer dans ma cour ! Dans la cour des GRANDS ! 
Agent de la SNCF. Non, ils ne te font pas cadeau d'un train, mais tu voyages gratis ou presque.
Agent de l'EDF. Éclaire-moi si je me trompe, t'es au courant que tes lumières valent moins cher que les miennes ?
Pilote ou hôtesse de l'air. Billets, quasi cadeau. Ton tour de monde te fait tourner la tête !

Il n'est pas fini le temps des privilèges, du seigneur au vassal, on court tous après et on jalouse ceux qui en ont en trouvant ça injuste.
Mais quand c'est toi qui en a, trouves tu injuste que l'autre n'en profite pas ?
Privilèges... avantages... cadeaux... invitation... Quand tu nous tiens !

Anne Kitline

dimanche 4 novembre 2012

Belles-mères

Sonia et moi, sommes des "belles-doches", belles-mères si vous préférez. Mais avant d'être belles, nous sommes mères. 
Belles, par contre, c’est grâce à nos enfants. Et oui, vous devenez belles si votre fille ou votre fils se met en couple.
Donc, plus les rides s’ajoutent, plus vous êtes belle. Si, si, c’est la langue française qui le dit et ainsi, nous honore, nous, les BELLES-MÈRES.

Mais, j’y pense, il n’y a pas que la femme d’un certain âge ou d’un âge certain qui devient « belle-mère ».
Les couples recomposés, aussi. La nouvelle femme devient belle-mère des enfants du père. C'est-à-dire de son beau-fils ou de sa belle-fille.
Alors, cette belle-fille qui est déjà belle-mère, deviendra belle-mère des enfants du père, comment dira t-on ? Belle-belle-mère ?
Et le mari ou compagnon, qui lui aussi est beau-père des enfants de la belle-mère des siens deviendra beau-père de la compagne de son fils, là, on dira comment. Beau-beau-père ? Non, pas bobo-père, quoiqu’il puisse être « bobo », mais ça n’a rien à voir.

Imaginez, que le père du fils et la mère de la fille se mettent eux aussi en couple. Le beau-fils de la mère qui est le fils du père a donc une belle-mère qui est la mère de sa compagne et la belle fille de son père.
Et les enfants de ce couple, me demandez-vous !
Le fils de la belle-fille du père du compagnon à donc un beau-père qui est le beau-fils de la mère de la compagne.
Et la fille du beau-fils de la mère de la compagne se retrouve avec une belle-mère qui est la belle-fille du père de son compagnon.
Vous avez compris, moi, je m’y perds dans tous ces pères et ces mères, ces beau-fils et ces belle-fille. Quelle hiérarchie !
Voulez-vous que je recommence mon explication ? Non ! Comme je vous comprends.



Anne Kitline