Taxes, taxes, taxes. L’Etat taxe.
Taxe un max ! Taxe un max !
Taxes, taxes, quand tu nous tiens
Taxes, taxes, tu nous tiens bien !
Dans ce contexte, ni souplesse, ni complexe, ni tact
Je suis furax qu’on nous malaxe de super-taxes.
Passe à la caisse !
Avec rudesse on te contacte.
De tes richesses, sans mollesse, paye le prix.
Pas de prétextes ! Vide tes poches, c’est la Saint
Taxes !
Passe à la caisse !
Que tu sois d’Aix, de Dax, de Saint Trop ou d’Avoriaz,
Paye le prix, le fisc te fixe sans tact, envoie tes liasses.
Prends acte du contact, même inexacte, la somme sera
compacte.
Passe à la caisse !
Tu as eu à des promesses que par tendresse ou faiblesse tu
as crues.
Tu es perplexe, c’est un réflexe, mais ça te vexe car ils
t’ont vaincu.
Avec politesse, tu t’empresses à jouer ta carte maîtresse.
Dont acte !
Passes à la caisse !
Même en pacs, tu seras blanc comme l’Ajax. Sois relax
Max !
Ils vont tout te piquer. Tes biens, ton fric, comme ton slip
de Saxe.
Donne… Donne, je le veux ! Mon pactole, lui, sera toujours
intact.
Passe à la caisse !
L’Etat taxe, pique tes réserves, encaisse, mixe. Faut du blé
dans les silos.
Faut de l’impôt, il te le pique dans ton dos, à ton nez, à
ta barbe. Serre les fesses,
Serre les dents, c’est au choix mais ouvre ta bourse et fais
sonner tes grelots
Sinon, le prix par dix sera multiplié et tu te trouveras
dans la détresse.
Passe à la caisse !
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