lundi 7 mai 2012

Pastis ou Pernod


On nous promettait du cinquante cinq pour cent, en vain ! (En vin !) Les médias nous ont saoulés avec ces chiffres.
Notre Président a fait un score de Pastis. Oui, pourquoi je dis Pastis ? Pastis cinquante et un. Et dans le Pastis, nous y sommes jusqu’au coup. On pourrait même l’avoir profond dans l’anis !
Le Pastis… déchantez, cigales, la bise va venir.
Le pauvre sortant décrié, critiqué, était promu au Pernod quarante cinq. Il ne boit pas, pas un gramme d’alcool. Ce nombre lui a déplu, il est passé au dessus du Pernod pour créer un « SNB quarante huit, SNB=son nom, bien sûr », marque de fabrique d’un instant. Boire et déboires !

Soyons sérieux ! Que de promesses sont entrées par mes oreilles pour être stockées dans ma mémoire vive. Que de mauvaises idées ont battues la campagne. Si je ne « beugue » pas durant ce quinquennat à venir, je rafraîchirais ma mémoire.

Chers con… citoyens, vous allez être enfin heureux. Votre vie va beaucoup changer, on va vous ponctionner, pas par les lombaires. Non, par vos salaires !
Vous allez pouvoir fonctionner pour nos fonctionnaires. Puisque vous avez loué un nouveau Seigneur, et ce pour cinq ans, donnez lui vos sous quotidiens pour les allocataires de tout poils, barbus ou non.
Allez y des vos deniers pour soutenir tout ce merdier !
Moi, je préfère un « diable » réaliste à un « ange » utopiste, vous l’avez choisi votre « ange » et il est assis sur le plus haut siège de France, assis avant d’être rassis !

Français pleureurs, comme les saules, qui attendez tout de l’état, imaginez dans quel état vous serez d’ici peu ! Vous pourrez dire : voyez dans quel état j’erre ! Oui, c’est nul ce jeu de mot ! Mais ça vous pend au nez comme la morve à celui d’un enfant, que vous semblez être devenu.
En parlant d’enfant, vous auriez besoin d’être torché et sérieusement. Y’a pas que la lampe torche, le PQ aussi, servez vous en !

Je suis amère, tu es amer, il est amer ! Non, il est ton père, le père François, un joli prénom pour un joli « bordel » à gérer. Gérer le bazar mis en place par eux-mêmes. Je jubile ! Je suis ravie qu’il soit passé. Je n’ai pas dit : mort, ni avarié, ni périmé, parce que passé c’est aussi ça, non, on va le liquider, pas de suite, on va attendre qu’il se liquéfie.

Je connais des « langues de puts » qui vont se retrouver au « chomdu » et des journaux aussi. Ce sont des méchants, na ! Et les méchants dans les bons films, ils perdent. Que c’est beau la morale…

Anne Kitline

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