mercredi 17 septembre 2014

Le cobra de Marseille

Tu connais la sardine qui a bouché le port de Marseille ? Je t’assure, elle était énorme et bloquais l’entrée.
Un autre fléau délie les langues de nos marseillais. Long de plus de… deux mètres ? Bon, celui-là ne bouchera pas l’entrée du port, il ne vit pas dans l’eau. Il rampe sur terre, tête dressée, prêt à se jeter sur toi s’il te rencontre dans son champs de vision.
-         Un cobra, je vous dis, ma brave dame, si, je l’ai vu à la télé !
-         Ben ça vit pas ici, les cobras !
-         C’ui-là, il a voyagé !
-         L’a pas pu traverser la mer tout seul ?
-         C’est pas moi qui l’aurais aidé, j’aime pas les serpents !

Les pompiers de la ville sont en chasse. Ils traquent l’animal dans un parc très fréquenté, le jardin Puget.
Bonnes gens, plaquez vos guibolles le cobra est dans le coin !
-         Dis, maman, ça mange quoi un cobra ?
-         Les petits enfants, tais-toi ! Ne dis pas de bêtise, les cobras, y’en a pas chez nous !
-         J’ai vu à la télé ce matin pendant que tu prenais la douche, il est long et tout gris !

Donc, là-haut, sur la colline… de Puget, il y a une bestiole rampante qui se balade.
Elle allait siffler là-haut sur la colline ! Presque du Joe Dassin.
Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur… la colline. Peut-être, il va trouver des congénères. Qui sait ?
Est-ce qu’un cobra mange des vipères ?
Cachez-vous !
On pourrait suggérer aux représentants de la commune, pour éradiquer le banditisme de la cité phocéenne, de jeter dans les rues de certains quartiers, des cobras et multiples serpents, vipères de toutes espèces. Personne ne traînera plus dans les rues. Tout sera de nouveau calme et plus besoin de police pour assurer la sécurité.
Le cobra et ses copains sont là et veillent.
Mais voilà, le cobra est peureux et à la moindre alerte, se cache, disparaît de la circulation, ni vu, ni connu !

Bon, j’ai compris, ce n’est pas la bonne solution, dommage !

jeudi 11 septembre 2014

Délire très mince - F


Je suis musicien. Musicien de formation, musicien de plaisir.

Le piano, très peu pour moi mais je n'aime pas frapper, même les touches… d'ivoires (plus clair)..

Le violon, si je le cajole, il couine.

Le violoncelle, on dirait un hippopotame sortant de l'eau.

La flûte, que du pipeau.

L'accordéon, il se met en boule.

Le hautbois fait des bas sons.

A l'anche de la clarinette, je préfère les hanches des filles.

Le cor est aux abois dans les bois si les chiens aboient.

Le tambour ? Ah non, je n'apprécie pas les vieilles peaux.

Le biniou me gonfle.

Le triangle me ramène à l'école avec une seule note : zéro !

Chef d'orchestre qui de sa baguette magique nous offre du son. Je suis un âne !

Non, moi, ce sont les cymbales. Pas les cymbales à deux balles, hein ! Les cymbales qui claquent juste au moment opportun, comme un rappel à l'ordre. Je me prends, avant l'heure, pour un discobole, quel bol ! Les cymbales, chapeau chinois renversé.

Mais voilà qu'un jour, j'ai échoué. Ma main droite n'a pas voulu rejoindre la gauche et claquer les cymbales. Elles ne m'avaient rien fait... alors ! Pourquoi les dresser l'une contre l'autre et frapper ? Je suis contre les coups. Ils ont pensé que je faisais une grève à deux balles avec mes deux cymbales et ils m'ont viré avec cinq cents balles. Quelle honte !



Alors, j'ai changé de métier pour devenir apiculteur et voilà t'y pas qu'un jour, une de mes abeille vient se plaindre qu'elle a la maladie de Ménière, quelle a des acouphènes et qu'elle entend constamment des bourdonnements et ça lui file le bourdon. Elle m'a piqué au vif, dans ma chair… de poule.

Et justement, j'ai viré agriculteur. Une belle ferme, des poules, des vaches, un cheval, la panoplie complète. Mes poules ont commencé à faire les belles pour aguicher le coq qui ne sait plus où donner le l'ergot.

Un renard avec un torticolis à force de regarder le corbeau dans l'arbre perché a rendu ses hommages à mes poules. Toutes bouffées ! Fini les poules… Euh, pas toutes, il y en a que j'aimerais collectionner, celles de luxe.

Je me suis donc intéressé aux vaches, à leurs cornes que je n'aimerais pas porter, à leurs bouses épinards… Pouah ! Une d'entre elles, la Blanchette. Va pour ce nom. Donc, la Blanchette ne supporte pas la sonnerie de mon smartphone et l'a avalé, bouffé, ruminé et dés qu'il se met à sonner, ma vache se tortille dans tous les sens, vire sur elle même, cherche à se libérer de ce fléau interne.

Mon vétérinaire a une solution : elle va te faire une bouse sonore. Imagine, une bouse bien verte et qui sonne. Tu décroche ?

Allez, passons. Mon cheval, lui, c'est autre chose, il tire autre chose que la charrue, il me tire une de ces tête depuis qu'il m'a entendu dire que j'avais si faim que je mangerai bien un cheval. Depuis, je l'ai fait cuire avec cuir et poils.

Cette vie civilisé me peine. La nature sauvage m'appelle. Tarzan est mon modèle. Un slip, la peau tannée. Pousser un cri pour faire accourir les copains. Se déplacer de lianes en lianes. Un matin, pas bien réveillé, je me suis retrouvé le slip à la main, le prenant pour une liane. Juste le slip, hein ! Je dis : le slip, je n'en ai qu'un. Il est si culotté, qu'il irait tout seul à Marseille ou ailleurs, c'est au choix si on habite au nord ou au sud. Et je me suis cassé la figure, écorché jusque dans mon intimité. C'est de là que vient l'expression : casser les couilles.

Comme quoi, l'homme sans tête s’entête. Et maintenant, que vais je faire ? Tiens, ça me rappelle quelque chose, un air de déjà entendu !

mercredi 10 septembre 2014

Mistral gagnant



Une nouvelle pathologie vient d’apparaître dans notre pays. Molière en avait décrit certains symptômes en son siècle, on la pensait éradiquée et voilà qu'elle refait surface.
La maladie imaginaire !
Elle a toujours existé, me dis tu. Pour sûr qu'elle courre nos rues, nos hôpitaux. Je pense que ceux qui vont jusqu'à ce stade de l'hôpital, sont vraiment malades.
Nous avons la maladie d’Alzheimer, que tu oublies plein de choses, de déclarer tes impôts, de payer ton loyer et que sais-je encore. Dans notre cas, ce n'est pas ça ! C'est la phobie administrative. Du grec phobos, peur, frayeur ou crainte démesurée.
Je savais l'arachnophobie, l'agoraphobie, l'hydrophobie, l'acidophobie, la photophobie, l'Hippopotomonstrosesquippedaliophobie. Hou ! Quel mot ! La peur des mots trop longs. Ben oui, ça est possible, hein !
Bon, passons, je viens d'ouvrir une page sur le net concernant toutes les phobies répertoriées. Il y en a plein, des tas, la liste est longue. Mais il y en a une qui ne l'est pas. C'est celle dont Monsieur Éphémère se dit atteint : l'administrophobie.
C'est quoi ce truc ? Peur de l'administration !
Tu vois un flic au carrefour et tu trembles ?
T'as des papiers à remplir et tu vois ta feuille devenir un monstre !
Ça, oui, c'est peut-être vrai lorsqu’il faut faire sa déclaration d’impôts.
Ah, c'est ça sa maladie, à lui ! Alors, du coup, il n'a rien déclaré. Waouh… Génial. T'as peur… tu fais rien. Fraudeur ? Ben non !
Mistral gagnant !
Je suppose que Monsieur Éphémère doit être atteint de chèquophobie. Pour régler son loyer, faut faire un chèque.
- Au secours, j'ai peur de mon chéquier, il va me mordre ! T'as peur… Tu fais rien. Négligent ? Ben non !
Mistral gagnant !
Tout le monde critique, mais moi, je trouve que ce mec est un génie. Pendant trois ans, trois longues années, personne n'y a vu goutte. c'est le cas de le dire, il est passé au travers… des gouttes. Possible ça ?
Ben oui, si tu es dans la bonne sphère. Non, pas dans la mienne. Moi, si je fais comme Monsieur Éphémère, je vais en taule, tout comme toi d'ailleurs !
Ben, pas lui ! Na, na, na !
Comment s'enrichir ou l'art de la gruge sera peut être le prochain titre du bouquin qu'il pourrait écrire pour nous donner des conseils.
Euh, des conseils, il en a déjà donné. Des conseils financiers, s'entend. Faites comme je dis mais ne faites pas comme moi, sinon, qui paiera pour moi, pour nous qui grassement vivons.
T'as cinq cents euros pour vivre ? Ben t'as rien pigé !
Monsieur Moyen se rebiffe, il l'a en travers de la gorge tandis que Monsieur cinq cents euros, lui, il n'a même pas un grain de riz à se mettre en travers de la gorge.
Tu vis sur quelle planète, toi, Monsieur Éphémère ? Parce que nous, Monsieur Toutlemonde, On ne doit pas être sur la même.

samedi 26 juillet 2014

Ô rage, orage !

Ô rage, ô désespoir ! Le ciel devient noir. C’est la nuit en plein jour et d’un coup, des striures d’éclairs illuminent l’horizon. Orage ! Au désespoir des gens qui courent se mettre à l’abri, d’un abri côtier ou même d’un abricotier, le déluge s’abat sur leurs têtes. Ils étaient à la plage et trempaient dans l’eau et c’est l’eau du ciel qui les trempe. Belle revanche de la nature.
Ah, la température baisse, ça caille, ma tourterelle ! Le « son et lumière » joue sa partition et s’éclate de bon cœur, s’en est assourdissant à s’en boucher les oreilles. Là, il fait fort, celui qu’est là-haut ! On n’avait pas prévenu. Pas prévenu que la grêle allait nous tomber sur la tête. Ben la voilà qui cingle les vitres. Faut pas nous les casser, hein ! Je parle des vitres et seulement des vitres. Flotte de partout, grêlons qui roulent, flot qui descend de la colline comme un torrent. C’est beau !
Zut, les mômes sont dehors, juste le temps d’arriver à la porte et la pétarade les salue avec fracas. Ils regardent ce spectacle sous  l’auvent. Même pas une goutte de pluie, ni un grêlon les a mouillé. Veinards ! Les gosses ont de la chance. Le boucan reprend plus fort encore.
– T’as débranché la box et les télés ?
Au premier coup de semonce, a l’annonce de la cata à venir si on laisse le matos raccordé au courant, tout saute. Et que ça saute ! Et que ça re-saute ! Donc, on débranche. Fini, plus branchés !
Vingt cinq minutes de gris, de vent, de grêle, de pluie et pfff, plus rien, le soleil prend le relai et arrose de ses rayons la plage, la mer et la ville. Le temps de dire ouf, et le sol est sec. Tiens, l’a pas plus ici ? Ben si, pareil que chez toi ! Ah, moi, j’ai pas eu de grêle. Bizarre !

Le lendemain de ce mini-cataclysme, c’est le jour que choisit mon fournisseur d’accès internet pour mettre à ma disposition une nouvelle box. Chic, z’ont enfin compris qu’il fallait faire quelque chose à cet engin qui merdouille depuis plus d’un an.
Quelle patience ! Ben oui, j’ai de la patience, mais pas sans limites ! Faudrait pas pousser mémère dans les orties, hein !
Faut aller la chercher au magasin, à dix kilomètres. Ben voyons ! Coup de voiture par un temps radieux où on serait mieux à la plage. Mais bon, quand faut y aller, faut y aller ! Pas vrai ?
– Y’a plus de box de disponible à cause de l’orage !
- Ah vous exagérez, là, on est venue exprès, pi’ nous, c’est pas l’orage, on a même reçu un sms pour dire que l’engin de torture était disponible ! Alors ?
- Oui, mais y’en a pas, peut-être demain !
- Demain c’est dimanche, m’étonnerai que vous soyez ouvert !
- Alors lundi, on vous téléphonera !
- Et merde ! Pas vrai ça !

Retour case départ, maison, rebranchement de la chose qui dysfonctionne à qui mieux mieux. C’est beau le progrès et le vingt et unième siècle ! Déçu, tu restes avec ce truc qui saute, brouille l’écoute, fait des tableaux d’art moderne en carrés multiples et couleurs de caléidoscope ! Ouais, ça me plait, le pied !

Internet, ADSL, télé, manquent de synchronisation ? Saint chronisation priez pour moi, pauvre utilisateur et maintenant à l’heure de la communication, allez vous faire voir chez les grecs !

lundi 14 juillet 2014

Le cri des animaux

Ce texte n'est pas de moi, mais je pense qu'il faut le faire connaître, aussi, je vous le propose. Bonne lecture !
"Tu le sais, bien sûr, depuis longtemps, le coq chante, cocorico, la poule caquète, le chien aboie quand le cheval hennit et que beugle le bœuf et meugle la vache, l'hirondelle gazouille, la colombe roucoule et le pinson ramage.


Les moineaux piaillent, le faisan et l'oie criaillent quand le dindon glousse.   La grenouille coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse.    Et le chat comme le tigre miaule, l'éléphant barrit, l'âne braie, mais le cerf rait.  Le mouton bêle évidemment et bourdonne l'abeille.   La biche brame quand le loup hurle. Tu sais, bien sûr, tous ces cris-là mais sais-tu ? Sais-tu ? Que le canard nasille – les canards nasillardent ! Que le bouc ou la chèvre chevrote, Que le hibou hulule mais que la chouette, elle, chuinte.   Que le paon braille, que l'aigle trompète.

Sais-tu ? Que si la tourterelle roucoule, le ramier caracoule et que la bécasse croule que la perdrix cacabe, que la cigogne craquète et que si le corbeau croasse, la corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit. Tu sais tout cela ? Bien. Mais sais-tu, sais-tu ? Que l'alouette grisole, Tu ne le savais pas.
Et peut-être ne sais-tu pas davantage que le pivert picasse. C'est excusable ! Ou que le sanglier grommelle, que le chameau blatère et que c'est à cause du chameau que l'on déblatère ! Tu ne sais pas non plus peut-être que la huppe pupule Et je ne sais pas non plus si on l'appelle en Limousin la pépue parce qu'elle pupule ou parce qu'elle fait son nid avec de la chose qui pue.


Qu'importe ! Mais c'est joli : la huppe pupule ! Et encore sais-tu ? Sais-tu que la souris, la petite souris grise, devine ! La petite souris grise chicote. Avoue qu'il serait dommage d'ignorer que la souris chicote et plus dommage encore de ne pas savoir, de ne pas savoir que le geai, que le geai cajole ! Sais-tu que la mésange zinzinule! Comme la fauvette d'ailleurs."

"L'Albine" de Fernand Dupuy chez "Fayard

Faire suivre sinon nous oublierons cette belle langue dont nous ne savons plus grand chose.

mercredi 28 mai 2014

Perles d'histoire

C'est bientôt le Bac, ce fameux Bac qui tous les ans nous offre de superbes perles. Qu'ont donc compris nos chères têtes blondes ? Voyons un  peu... Quelle histoire !

Deuxième guerre mondiale :

Comment appelait-on cette race crée par Hitler ?
Réponse : les acariens ! 

Le Prof : Quel était le poste occupé par hitler avant qu'il ne prenne le pouvoir ?
L\éleve : Hitler était chandelier

(prof): mademoiselle pouvez vous me citer un camp de concentration ?
(eleve) ... euh ...
(prof) : au, au , aush .....
(eleve): auchan !!??

Pendant la guerre les papys s'amusaient à faire de la résistance.

Les avions lançaient des espadrilles contre l'ennemi.

Le champ de bataille était couvert de cadavres dont certains respiraient à peine.

Klaus Barbie : 1913-1991, fondateur des poupées Barbie

Jean Moulin fut, lui aussi victime de la barbie nazie.

Les américains ont lancé deux bombes gastronomiques sur Hiroshima et Nagasaki

Le général Aïe Zenhower commandait le débarquement de 1942 en Afrique du Nord.


Napoléon :
Napoléon faisait du sport dans sa piscine, du waterloo

Napoléon était très apprécié des ses grognasses car il était avec pendant les batailles.

Napoleon à envahi l'empire de l'Autruchon Gris

Le nom de Napoléon bonne appart vient de son frère qui louait des appartements de luxe.

Comme Bonaparte, Jules César pouvait dicter plusieurs lettres à la fois, c'était un dictateur !


Nos rois :
Clovis c'est un barbare qui n'a pas de vase, alors il le prend.

Clovis avait pris le vase de l'église qui rend invincible et lui a rendu tout cabossé.

Charlemagne se fit châtrer en l'an 800.

François 1er était le fils de François 0

Louis XIV a répudié Lady de Nantes parce qu’elle le trompait.

Louis XV était l'arrière petit fils de son oncle Louis XIV.

Louis XVI a été guillotiné à cause des spots.

A la fin de sa vie, Louis XVI a perdu la tête.

Louis XVI est mort décapité du torse.

C'est en 1111 qu'a eu lieu l'invasion des Huns

Selon Louis XVI, Marie-Antoinette était bonne parce qu’il l’appelait toujours ma bonne

Louis XVI a complètement perdu la tête !


Temps modernes :
L'UE fait parti de la griade, donc ils sont très riches !

On voit que l'Union Européenne occupe une place centrale dans les échangismes internationaux

Définition de Non-Alignement: C'est lorsque ce n'est pas aligné.

La guerre froide c'est la guerre qui c'est passer pendant l'âge de glass !

La guerre froide, fut nommée ainsi car l'URSS a négligée sa production de radiateurs

Nous allons maintenant nous intéresser aux points chauds de la Guerre froide.

Encore maintenant, un des slogans les plus criés par les étudiants dans la rue est « CRS URSS ! », par nostalgie de la guerre froide.

La guerre froide se déroulait en hiver, autour des 0°Celsius

Suite à la chute du mur de Berlin, la circulation des vents a pu être rétablie dans toute l’Europe. Avec l’arrivée des courants chauds, on assiste alors à la fin de la guerre froide.

La guerre froide laisse encore des frissons aujourd'hui.

La France a été à l’origine des droits de l’homme et du Citroën.

L’armée française a fait la guerre d’Algérie pour éradiquer les djellabas

La politique budgétaire vise à éponger les liquides excédentaires qui stagnent autour du cercle vicieux

Q : Pourquoi les accords de Matignon s'ont appelés ainsi ?
R : Parce qu'ils ont été signés tôt le matin.

De quoi est composé le Parlement français ?
- De bancs et de gradins.

En 1968, Les femmes réclamaient la libéralisation des morses

D'ailleurs, par la suite, De Gaulle est devenu un porte-avion.

Pendant la bataille de Stalingrad, les soldats étaient tués et retués pour être sûr qu’ils étaient bien morts.

Quelle couche sociale est touchée par la politique de Gambetta? - Pampers, Monsieur !

Question : Citez deux acteurs majeurs de la décolonisation en Afrique subsaharienne.
Réponse : Jamel Debbouzze et Faudel.

Prof : Qui sont les royalistes ?
- Eleve: Euh ... Les partisans de Segolène Royal

Jules Ferry a rendu les maîtresses gratuites et obligatoires.

Le calendrier révolutionnaire commence en primaire.

Un des droits de l'homme est la résistance à l'eau pression.

On pourrait assister à des changements politiques si l’abstinence persiste.

Le 11 novembre, tous les morts de la guerre fêtent la victoire.

Après la défaite, les Français prirent comme chef le maréchal Pétrin.

Question : Qui a été le premier colon en Amérique ? 
Réponse : Christophe

Beaucoup d'hommes politiques ont fait l'ENA, l'Ecole nationale de l'admiration.

Vendémiaire correspond à la saison des vidanges

Lénine et Stallone ou Staline et Lénone, je ne sais plus !

Le Tsar a perdu le pouvoir malgré les occases

le peuple s'en est pris à un bouc et mystère.

Le général de Gaulle est enterré dans deux églises à colombey.

Blaireau a été le premier à traverser la manche en avion.

Avant la guillotine, les condamnés à mort étaient exécutés sur une chaise électrique...

Napoléon III était le neveu de son grand-père.

Les accords d'Evian avaient pour but de commercialiser la marque d'eau en Algérie

Les condamnés à mort étaient décapités à la bombe hache

Les professeurs de dictées sont appelés les dictateurs


Jeanne D'Arc
Jeanne D'Arc, elle, a fait un feu de joie.

Jeanne d´Arc s´appelait la pucelle, parce qu´elle avait plein de puces partout.

Jeanne d'Arc n'aimait pas trop qu'on la traite de pucelle.

Quand on l’a brûlée (Jeanne d’Arc), les gens ont senti une odeur de sainteté.

Elle entend des voix qui lui disent de faire sacrifier le roi de France à Reims.

Jeanne d'Arc a été une des victimes affreusement brûlées par Landru


Temps anciens
César poursuivit les Gaulois jusqu'Alésia car Vercingétorix avait toujours la gaule.

En -52 César a complètement la Gaule

Jules César est une marque de pâté pour chien.

Les empereurs organisaient des combats de radiateurs.

Les Romains ont construit les viaducs pour faire passer les trains.

Les gaulois buvaient de l'hydrogène (hydromel) dans le crâne de leurs ennemis.

En ce temps là, PARIS s'appelait Lucette.

Les 3 grandes époques de l'humanité sont l'âge de pierre, l'âge de bronze et l'âge de la retraite.

Hannibal a réussi à aller de l'autre côté des Alpes en escaladant des éléphants.

L'âge de pierre a commencé avec l'invention du bronze.

Au moyen-âge, les lieux de pèlerinage sont la peste, la famine et la guerre.

Au moyen-âge, le feu dégageait de la fumée.

Les égyptiens mettent leurs momies dans des scaphandres.

Les égyptiens écrivaient sur des papiers russes.

Le dieu Horus a une tête de faux con.

Néron se servait des chrétiens pour faire des lampes en leur mettant le feu.

Au moins, ils n'ont pas tout perdu ! Bravo les jeunes !


mardi 27 mai 2014

Bellissimo Paese

Du nord au sud, de l’est à l’ouest, ce pays me parle. Sa langue chantante, charmeuse, comme une musique dans l’oreille me porte à la rêverie. Je ferme les yeux et j’écoute.
J’entends des enfants qui jouent au ballon dans les rues. Les voix des mères qui s’interpellent par les fenêtres ouvertes, qui se chamaillent parce que le gamin fait du bruit et sort le père de sa sieste. Les stridulations des cigales dans les pins aux senteurs entêtantes me bercent comme le bruissement du vent dans les oliviers lourds de fruits. Ces tours de gué qui annoncent toute arrivée d’amis ou d’intrus. Ces petits villages aux couleurs chaudes, ocrées, harmonieuses, perchés sur des pitons rocheux, sont d’une beauté paradisiaque. Les grandes villes emplies d’Histoire, de sculptures, de peintures offrent une richesse artistique inégalable. Tout y est musée, il suffit que le regard se pose, à droite, à gauche, que l’on lève les yeux ou que l’on regarde vers le bas, on y découvre une œuvre magistrale.
La recherche architecturale, les monuments colossaux, l’opulence des marbres montrent la richesse d’une antiquité toujours présente et admirée du monde entier. Les foules se pressent par moultes cars pour visiter ce pays où je me sens chez moi. C’est là et pas ailleurs que j’aimerais vivre. 
Les gens ont le rire facile, la parole déliée, le geste ample pour confirmer les mots, et peut être, le soir, ont-ils des courbatures aux bras à force de parler.
Plus on descend vers le sud, le grand sud, plus le verbe est haut. On dirait que chacun connait son voisin et qu’on est le voisin de tous pour peu qu’on fasse un effort pour dire un mot, une phrase dans leur langue.
Pays de volcans, de tremblements de terre, qui ont façonnés le caractère des habitants et puisque le danger peut se manifester à tout moment, ils adoptent une joie de vivre, faisant quand même les cornes dans leur dos, avec deux doigts, pour conjurer le mauvais sort et se mettre ensuite à prier la madone avec une ferveur non feinte
Je ne vous ai pas dit : la mer est partout, il suffit de quelques kilomètres et la grande bleue est à vos pieds. Allez y, oser y tremper vos orteils, elle est chaude, elle vous attend, elle s’offre à vous. Goûtez là ! Je n’ai pas dit de la boire ! 
Testez là avec votre corps, laissez vous porter par les vagues, le bien-être est à votre portée ! Vous avez aimé ?
Vos cinq sens vont se développer, approchez.
La vue ! Où donner de la tête, tout y est superbe.
L’ouie ! Chacun dans leur langage vont vous chanter leur musique, les gens, les oiseaux, les cigales, le vent.
L’odorat ! Votre nez s’emplie du parfum des fleurs, des arbres, des fruits, des légumes.
Le goût ! Dégustez, avalez, mangez, buvez, sucez, léchez, ce que l’odeur vous promet, le goût l’atteste.
Le toucher ! D’une main attentive, caressez les statues, les marbres. Fermez les yeux pour mieux imaginer, rouvrez les, vos doigts ne vous ont pas induit en erreur, c’est beau, c’est bellissimo !

Le seul pays au monde qui ose vous inciter à un coup de pied quelque part, ressemble à une botte, « stivale ». Ca fait déjà penser aux vacances « estivales », n’est ce pas ! C’est le pays des vacances, le ciel bleu, le soleil, la mer, le sable, les coquillages et en prime, les coups de soleil, la peau rouge, couleur homard prêt à cuire. Ne me touchez pas ! Ah je brûle ! Je suis cuite !

Ce si beau pays, vous l’avez deviné ? Non, ce n’est pas la Corse mais ça aurait pu. Ce pays c’est… c’est… C’est l’Italie, la bellissima Italia. Ciao, arriverderci, a presto !

samedi 1 mars 2014

Le bon bout - F

Un bout de bois, c’est un morceau, comme un bout de fil. Ce bout de bois ou bout de fil à lui-même deux bouts de chaque côté. D’accord ? Tu me suis ? Donc, ces bouts ont une limite et si on va au bout de ses limites, c’est qu’il n’y a plus rien et que le bout est une fin.
A tout bout de champs, on nous parle du bout du monde. Ah, là, c’est moins facile. Y a-t-il un bout comme un bout de terrain, une surface ? La terre a un bout, un bout de terre quelque part. Mais le monde, lui, où sont ses bouts ? Et si le bout est une fin, est ce pour autant la fin du monde. On s’y perd !
Tu prends une balle, une belle balle toute ronde. Ok ! Où vois tu les limites de la chose ? Dedans, dehors ? Alors, allez au bout du monde, c’est où ? Tu me perds de vue ! C’est une vue de l’esprit, c’est un bout sans bout, un bout sans fin.
Pour autant, si je vais jusqu’au bout et que je tiens le bon bout c’est qu’au bout du compte j’ai mis les bouts. Depuis longtemps, je rêvais de faire un bout de chemin pour voir enfin le bout du tunnel. J’ai mis un bon bout de temps avant d’être à bout, à bout de force, je peux même dire : au bout du rouleau.
J’ai pris la vie par les deux bouts ne sachant pas par quel bout la prendre et depuis, mon mari bout de colère, lui, le bout en train. Ce n’est pas qu’il voyage, ni en train, ni en avion, lui, n’a jamais mis les bouts et je sais qu’il ira jusqu’au bout. Mais quel bout ?

Ça ne tient pas de-bout ! 

vendredi 21 février 2014

J'accuse... mon âge - F

J’accuse !
Pas un « j’accuse » comme Zola, je n’ai pas son talent.
Non, j’accuse le coup, un coup fumant. En premier lieu, j’accuse mon âge. Je l’accuse de me changer d’apparence, de me créer des rides. Oh le vilain ! 
Ceci dit, je constate, que comme le bon vin, je m’affine en vieillissant. Non, ce n’est pas une blague. C’est-à-dire, que ma peau devient de plus en plus fine, fait des petits plis, des grands plis et que je suis comme ces chiens qui ont le contenant plus grand que le contenu et dont la peau fait d’énormes plis et replis, qu’elle pendouille ou –bourrelette. L’extérieur s’agrandit et l’intérieur rapetisse, se -démuscle, s’adjoint de multiples trucs indésirables.

Tu trouves que le tableau est moche ? Je te l’accorde ! Depuis x décennies, l’emballage s’est modifié et ne correspond plus du tout à ce qu’il était dans la première moitié du vingtième siècle. 
Déjà ? Comme le temps passe… mes aïeux ! Il fut un jour où je chantais : tu me tiens par la barbichette et que faute d’en avoir, de la barbichette, je me tenais le menton. Aujourd’hui, je me tiens le double menton. Je n’ose pas te décrire le reste de mon corps. Ce serait déplorable comme lecture et te ficherait le moral en bas des chaussettes.

Donc, je te disais : j’accuse ! J’accuse le temps qui fait que j’accuse mon âge et pour le coup, j’accuse tout. Le cou, parlons-en ! Si je secoue ce cou, ça craque, ça grince et ça ne tourne plus. C’est devenu un cou fixe alors qu’avant, c’était un cou variable. Je pouvais l’allonger, le tasser, le faire aller à droite, puis à gauche. Figure-toi qu’il faisait de belles figures avec souplesse. J’en étais fière pour le coup de ce cou. Droit, élancé, pas un faux pli, un régal. Maintenant, s’est ajouté, et ça sans coup férir, deux lignes de démarcation, comme qui dirait : à découper suivant les pointillés. Y’a qu’à suivre les tracés, c’est tout droit !

Bon, je ne veux pas te casser ta journée ! Je suis bien dans ma peau. J’en ai fait le nettoyage – de peau – comme au pressing mais pour plus cher ! 
Cher(e) ami(e), je ne manque pas de pot et tant pis si ma peau se fâche après moi et pour me faire rager, se distord et a tendance à vouloir se rapprocher plus du bas que du haut, en contrepartie, mes neurones ne font pas un pli, eux, et arrivent encore à se connecter les uns aux autres.


Je te prie, ami(e) d’accuser réception de ce brouillon de prose et t’encourage à ne pas te regarder le nombril d’autant plus s’il est comme le mien, à un endroit que la décence m’oblige à ne pas préciser ici.      

dimanche 26 janvier 2014

Suite : Moi Président

Je me lâche ! C’est parti ! En commençant par le mot qui me vient tout d’abord à l’esprit suite à l’éviction de Madame Première par Môssieu le goujat, Môssieu le malotru, Môssieu le gougnafier, le mufle, le rustre, cet espèce de pignouf, ce butor, ce malappris de première, ce grossier personnage, ce maraud, cet impoli, ce maroufle, ce sauvage, cet indélicat, ce queutard, ce coucheur, cet enjambeur, ce fouteur, enfin, ce baiseur.
A-t-il des problèmes de pinceau qu’il doive le tremper dans de nouvelles marmites ?
Môssieu le baiseur, s’y connaît. - I’m gonna do her to night -!
Ce n’est pas une, ni deux, ni trois, mais beaucoup plus, c’est nous tous qu’il a baisé. He is crooked as a pretzel !
Conduite indélicate s’il en faut envers Madame Première. Ce sauvage la largue, l’éjecte comme un vieux DVD, la jette tel un kleenex usagé. Shame on you Mister fucker !
Your ass is grass ! Comme diraient nos amis anglais, il est en mauvaise posture à force d’adopter des postures nocturnes ‘extra-Madame Première’.
J’avoue que je ne comprends pas pourquoi les nanas lui collent au train, il est moche comme un pediculus humanus, les bras ballants, le bide en avant, un sourire niais. Bref, ce n’est pas ma tasse de thé !
Ma spesso il suo cazzo piange e ha bisagno di trovare la fica dolce. Il n’a même pas besoin de chercher, les filles tombent dans ses bras comme des mouches. Super mec !
Bigame, polygame, est-ce un jeu ? A game in inglish. Quelle santé !

Nos journaleux disaient : problème de prostate ! Que nenni, ce n’est pas sur l’arrière que le problème se situe, c’est sur sa proéminence ‘bas-ventrale’. 
Cet homme n’est pas inébranlable. Maintenant, chacun le sait. Tentez votre chance, brave dames, vous pourriez devenir Madame Première !

mardi 14 janvier 2014

Moi, Président...

« Moi, Président, je ferai en sorte que ma vie privée soit irréprochable ! » C’est dit !
Campagne électorale oblige. Effet boumerang, ça lui revient de droit(e) et de gauche. Au moins un objectif atteint, l’est comme chacun. Ben non, pas vrai car « Mossieu » trompe. Ah, j’avais oublié qu’il était un éléphant du parti, alors, la trompe c’est normal, normal comme lui.
Sardou chantait au sujet d’une femme Présidente :
Maîtriser à fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à la Présidence
Et de là faire bander la France.

Et là, je vais baiser la France !
Suffisait de changer les verbes. On nous rabâche que c’est un Président mou. Qui dit mou ? Ben pas mou de partout. Inversement proportionnel aux sondages qui baissent, une partie de l’anatomie de « Mossieu normal » augmente. Après la « quenelle de Dieudonné (une quenelle, c’est tout mou) on a la saucisse du Président. Je connaissais les moules de Hollande mais pas la charcuterie hollandaise. Ça ne doit pas être fameux. 
Faute de pouvoir redresser sa cravate et la France, il y a au moins quelque chose qui se redresse chez lui.
Chez « Mossieu normal», l’une chasse l’autre. Quel tempérament ! Une officielle pour faire « normal » et l’autre en simultané pour la galipette.
Cette information, c’est le magazine Closer qui nous l’adresse. Qui nous la dresse ? 
« Mossieu normal » a tant dressé la sienne qu’un photographe à l’horizon a vu son périscope et d’un clic a pris le flagrant délit au lit de la jolie Julie.
Sept pages de clichés, c’est peu banal et ça fait « causer » le monde entier journalistique qui dans ce cas, ne tique pas du tout et au contraire, se régale des galéjades présidentielles, trouve que la plaisanterie a assez durée et fait éclater le scandale. La bulle a pété. 
« Mossieu normal » va en scooter s’étendre sur un de ses sujets (de prédilection). – Ça y est… C‘est la Gayet, la jolie Julie ! 
Connais pas ! C’est qui cette nana ?
Pauvre Valérie !
Valérie était loyale
On l’envoie à l’hôpital
La Gayet la remplacée
Valerie est très vexée.
Que dira « Mossieu normal » ce soir, à nous, con-citoyens ? Vraimen citoyen ou vraiment c… !

vendredi 10 janvier 2014

Extrasystoles - F

Si j’étais has been, c’est fini. Je suis –in-, branchée ou –chébran- Iphone, ipod, ipad. Aie, aie, aie. Haï sodesu, pour les japonais branchés !
Ça a duré 24 heures. 24 heures de grattouille. Branchée durant 24 heures. Pas internet, j’ai déjà depuis longtemps. Non, pas ça, mais un holster. Dés la pose, la grattouille démarre. T’as tout de suite envie d’arracher les 5 points d’encrage. Ben non, le toubib, se moque de toi et branche le tout avec son petit boîtier.
Tu te demandes comment tous ces fils qui pendouillent, là, devant toi, (y’en a au moins pour un mètre de fils si c’est pas plus), tu vas les supporter et ne pas te les enlever en dormant, par exemple, où faire un faux pas en marchant dessus et les arracher. Et puis, faut pas les faire voir, alors, tu les planques dans la culotte… de pantalon, c’est plus propre.
Première fois de ma vie que ma beauté intérieure va parler et dire ce qu’elle a dans le ventre. Euh… Dans le cœur. Le cœur à ses raisons… etc…etc.
Mais mon petit cœur à moi, a-t-il raison de manifester des dérèglements en mitraillette ? Je vous demande un peu ? Un coup, je bas. Deux, ça fonctionne. Trois coups… Rien… -Ah, excuse moi, j’ai oubli de battre, j’avais l’esprit ailleurs. C’est un coup foiré, ou peut être un coup fourré.
Si seulement il reprenait son rythme de croisière tranquillou. Ben pas du tout, comme si j’avais pas compris le signal, il récidive et pas qu’une fois. Pas possible, il doit penser que je suis bouchée. Les oreilles bouchées, ça, ça irait. Mais s’il me découvrait une artère bouchée (à la Reine), une artère embouteillée, comme aux heures de pointe sur le périph ? Là, on ne rit plus, hein !
Bon, sérieusement, la petite boite noire du holter, vient de parler au bout d’une journée. Extrasystoles ! C’est joli comme mot !
C’est extra, c’est extra… Chantait Léo Ferré au siècle dernier, mais aucun n’a chanté : systoles… systoles… T’as pas d’bol !
Au fait, j’ai remis la boite noire, les capteurs et les fils pendouilleurs au bout du laps de temps imparti et ce fichu boîtier, tant je lui ai refilé d’énergie, voulait plus s’éteindre. La secrétaire appuie une fois sur le bouton arrêt et le holter, tout seul, comme un grand, redémarre. Pareil, deux fois et à la troisième, cet engin a enfin compris qu’on ne voulait plus le voir allumé.
Bizarre les choses, le boîtier ne veut plus stopper et mon cœur fait des ratées. Faudrait faire un échange ! C’est possible, ça ?

Comme je citais ci-dessus : « le cœur à ses raisons que la raison ne connaît pas », et peut être que les holters aussi.  Qui sait !

jeudi 9 janvier 2014

Bonne année 2014

Coucou amis lecteurs que j’abandonne depuis deux mois. Je ne vous ai pas oublié et je viens vous souhaiter une bonne année 2014. Qu’elle soit un excellent an née comme ils disent de par ici.
Est-ce que pour vous, 2013 fut l’an pire que vous ayez subi, parce que sous l’empire de la politique, des résolutions ne furent pas prises, ou le furent souvent de travers. Mais qui dit « résolutions » dit problèmes, c’est mathématique !
Vous avez dit : problème ? Ce n’est pas de la crème et ça vous rend tout blême de cogiter sur ce thème et même jusqu’au carême.

Est-ce que 2014 sera l’an bon ? Ou l’an bon point de notre Chef « normal » ?
Moi qui ai connu huit Chefs suprêmes, (comme la sauce suprême), donc, dans le tas, y’en avait sept qui étaient « Saint Glé » et depuis peu, un seul « normal. ».
Vous avez dit : normal ? Comme c’est banal ! Alors, pour lui, normal, ce sera l’an choix, salés ou marinés (pour nous faire mariner, il nous fait vraiment mariner.)

Interdiction que l’an plie et qu’on nous berce de musique à percussion. Vous percutez ?
C’est un an jeu terrible, ou un terrible an geint déjà qu’il joue avec nos nerfs, pépère !
Je croyais m’ennuyer avec notre « normal ». Ben non, pas du tout, il nous a fait l’an bourdes à force de faire l’an douille, il a fait un concours à lui tout seul. Bravo, il a gagné. Fini de faire l’an douille, sinon, on douille. Et si on douille, on tique et ce sera l’an tique.

2014 à peine débuté, l’an perd du temps. Que nul ne l’an pute de décisions souvent avortées en plus il ne faut pas que l’an traine des casseroles à sa suite. Ce sera l’an dit cap, cap sur la réussite et pas sur un handicap majeur.
Surtout… surtout, que ce ne soit pas l’an terne et encore moins l an creux. Skeugneugneu ! On a besoin de respirer un peu, non ? Je ne veux surtout pas de l’an pas d’air. Qui dit air peut penser à l’an pet. Ah, pas ça je vous prie.
Il peut arriver quelquefois que l’an se ment à lui et à nous, et si l’an te ment, tu le crois.
Vous êtes au courant que le palais de notre « normal » a vendu sa cave aux enchères, donc, pour Pépère, on fêtera l’an d’eau, l’an jet, l’an jet d’eau. Je m’égare, gare !,
L’an rage vu que l’an fit théâtre, an fin, il nous amusa, vu qu’il était an phase de réussite et sans an prise à concurrencer Guignol.
Toi, là, je te vois sourire et je distingue qu’an fait ta mine est largement réjouie, et que moi, j’an dors plus.

Bon, mes cocos, mes cocottes, en mille comme an cent, je vous souhaite, à vous, amis lecteurs un an cher, un an fort, surtout pas un an foiré mais que l’an poule vous donne du grain à moudre, à picorer, à ingurgiter et à digérer, le tout en pleine lumière !
Je m’an gage à nouveau à vous souhaiter un très bon an née 2014 !

Petit lexique pour mes amis lecteurs étrangers.

Année – empire – ambon – l’embonpoint - anchois –ampli – enjeu – engin – lambourde – l’ampère – ampute – entraine – l’handicap – l’andouille – l’antique – lanterne – l’encre – lampadaire – lampée – lancement – lentement – landau - langer – enrage – amphithéâtre – enfin – emphase - emprise – amphétamine – Andorre – encens - enchère – amphore – enfoiré – ampoule – engage -